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| gen of scars | laboratoire urbanisme | nostalgie moderne | sex before suicide | street carnage | teenage | subbaculture | videodrom | what we wore | potos | françois langlais | freak city designs | melchior tersen | c’est quoi? | contact | france98 15/07/2018 « quand vous êtes entendus dans l’affaire festina, vous êtes plusieurs à confesser avoir pris de l’ecstasy le soir de votre expulsion du tour en 98… ouais, on est à brive-la-gaillarde, tout va plutôt très mal et nous on va se mettre sur le toit, le soir… je ne vais pas entrer dans les détails mais disons qu’on a vécu une sacré soirée. on a été au bout de notre histoire, fallait que ça finisse comme ça… tôt ou tard, ça nous serait tombé sur la gueule, faut bien le dire, on avait atteint un niveau… on allait gentiment dans le mur. après, il y a des tas de choses qui expliquent que ce soit tombé sur nous. notre suprématie gênait beaucoup et forcément, la suspicion s’était installée. ça n’a pas aidé qu’on soit tout le temps devant. quand t’as huit festina qui font le tempo et que derrière t’as huit ou dix mecs qui arrivent à suivre… » (…) lire la suite commentaires: 0 catégories: revue tags: 1998 , aciiid , christophe moreau , dopage , ecstasy , festina , gasoil , pédale! , peroxydé , tour de france je suis la haie et l’eau noire 14/07/2018 « il n’y a rien de plus sot qu’un journal, du moins aussi longtemps que son auteur vit. je n’ai jamais été découragé par la niaiserie, tout ce qu’on écrit de sincère est niais, toute vraie souffrance a ce fond de niaiserie, sinon la douleur des hommes n’aurait de poids, elle s’envolerait dans les astres. que dire encore ? si vous voulez souffrir tout seul, taisez-vous. sinon n’allez pas chercher, sous prétexte de sympathie votre propre souffrance dans le cœur d’autrui avec une pince à sucre, en fronçant le nez, comme ce pauvre m. de montherlant, d’un air de dire qu’on n’a pas faim, qu’on fait semblant, par politesse, qu’on a pris l’habitude, dans son enfance, d’une nourriture plus distinguée. je sais cela, n’importe. je sais aussi que je ne suis plus sûr de ceux pour lesquels j’écris, plus sûr du tout de trouver le chemin de leur tristesse ou de leur joie. alors, à quoi bon ? je n’aurais pas honte de les prier de me consoler, car bien que je ne sois pas affamé de consolation d’un pape ou qu’un cardinal, je ne serais pas assez fou pour repousser leur aumône. mais la vie m’enseigne que nul n’est consolé en ce monde qui n’ait d’abord consolé, que nous ne recevons rien que nous n’ayons d’abord donné. entre nous, il n’est qu’échange, dieu seul donne, lui seul. lire la suite commentaires: 0 catégories: litterature tags: exil , france , georges bernanos , guerre , journal , niaiseries , paysages , solitude quand les bleus étaient verts 10/07/2018 « dimanche 4 juin 1978. vent de panique à l’hindu club. car, affaire suivante, l’affaire des chaussures. révélée dans la foulée de la défaite contre l’italie à mar del plata, elle est le centre du monde. d’abord, baissons les yeux sur ces chaussures que nous ne saurions voir. et puis relevons-les pour avancer deux ou trois choses que nous savons d’elles. pour participation des bleus à la coupe du monde a été prévu le versement d’une prime individuelle de 5 000 francs (800 euros, 270 euros le match…) de la part d’adidas, leur équipementier. selon henri patrelle, le montant en a été négocié au stage du touquet, avec le représentant de la “marque aux trois bandes”, lui-même voyageant dans les bagages de la délégation officielle depuis plus d’une dizaine d’années : françois remetter, ancien gardien de but tricolore, un “héros” de suède (1958). lire la suite commentaires: 0 catégories: rapports , revue tags: 1978 , adidas , argentine , bleus , coupe du monde , football , hidalgo , maillots , platini , révolte guy marchand en a toujours rien à foutre 06/06/2018 fidèle figure de ‘gros con’ du cinéma français, l’acteur et chanteur guy marchand a traîné sa désinvolture du belleville où il a grandi à la provence où il compte finir sa vie. il est à la une du dernier numéro de schnock ( le #27 ) et voici l’intégrale de notre conversation téléphonique du 7 février dernier (dont vous pourrez lire quelques passages dans la revue suscitée). 81 piges, et en putain de forme. c’est bon, vous êtes prêt ? je ne suis jamais prêt ! vous êtes entré dans le cinéma par hasard… je ne sais pas ce que ça veut dire, le hasard ! je suis rentré dans l’armée par hasard, j’en suis sorti par hasard, et puis j’ai écrit une chanson par hasard, qui a été un grand succès. et après, on m’a fait faire des films à un moment où je ne vendais pas beaucoup de disques, ce qui m’a sauvé un peu la vie, c’est tout. le métier d’acteur, c’était donc un boulot par défaut ? je ne sais pas quoi vous dire… c’étaient de vieux fantasmes, à claude moine et moi. on allait au cinéma, on se mettait au premier rang, et on voulait rentrer dans l’écran quoi. et puis un jour, on y est rentrés dans l’écran, et bon, on a été un peu déçus. on est une génération où le cinéma a été notre seul fantasme, nous les enfants de la guerre… quand on allait au cinéma, en première partie, il y avait les actualités et on voyait les camps de concentration, avec les caterpillar qui emmenaient tous ces pauvres gens dans des trous. on avait 7/8 ans, et rien n’était censuré. on avait vécu dans la merde, l’horreur, donc le cinéma c’était le fantasme absolu, la seule échappatoire. lire la suite commentaires: 1 catégories: interviews , revue tags: belleville , cool , femmes , guerre , guy marchand , jazz , macho , ordure , schnock les jeunes avec bernanos ! 28/05/2018 une enquête à lire dans le #25 de gonzaï. commentaires: 0 catégories: litterature , revue tags: déconne , dieu , enquête , france , freak city , georges bernanos , gonzai , jeunes , mystique , robots rip mai 68 01/05/2018 commentaires: 0 catégories: art tags: funérailles , guttuso actrices de gauche / actrices de droite 23/04/2018 « on sait qu’à ses propres yeux comme à ceux de l’étranger, la france s’incarne dans son cinéma, notamment par le choix de ses “stars”. en élisant, pour représenter marianne, l’actrice la plus populaire de chaque époque, les français entérinent plus ou moins consciemment la valeur politique des vedettes